L'inévitable Sega Megadrive avec Sonic.
L'inévitable Sega Megadrive avec Sonic.
Sortie en 1993, la MegaDrive II (Genesis aux USA) se connectait sur un téléviseur cathodique de l'époque, et offrait une résolution de 320×224 pixels (proche de 4/3, forcément), en 4 plans de 16 couleurs soit 64 couleurs parmi 512 possibles.
Elle fonctionnait avec des cartouches = une ROM.
Et le truc cool, c'était qu'on pouvait avoir des jeux en location grâce au comité d'entreprise. C'était pratique pour les tester, et acheter uniquement ceux avec une durée de vie intéressante.
Sonic -the hedgehog-. Le "killer game" de la MegaDrive! Inévitable, et très bon jeu au demeurant.
Jeu génial, d'après mon fils. Sonic et son copain Tails à deux queues. Comme on pouvait jouer à 2, j'étais Tails, mais bon, je me trainais derrière Sonic, évidemment. C'est Sonic qui faisait le gros du boulot en face des boss de fin, en particulier l'infâme Dr Robotnik.
L'élément supplémentaire était la possibilité de faire une sauvegarde. Un truc fort commode pour éviter de recommencer du début...
Sonic avait un autre copain, Knuckles. Et toujours le Dr Robotnik comme adversaire. Le jeu était un cran au-dessus en difficulté.
Un autre avatar de la série, cette fois ça ressemble à un flipper (spinball). Un jeu moyen.
(1996) Cette fois en 3D, ou plutôt en vue isométrique, toujours à foncer de partout. C'était étonnant de voir ça fonctionner sur une MegaDrive. Mais la maniabilité laissait à désirer, c'était déconcertant.
Garfield le chat a toujours été un personnage favori chez nous. On n'oublie pas son copain Odie et son maitre Jon (et la veto). Pas terrible en maniabilité.
J'ai toujours eu un faible pour Vil Coyote (Wile E.Coyote de son vrai nom). Et je n'ai jamais pu saquer Beep-Beep -aucune imagination, cette bestiole.
Un jeu de plateforme. Intéressant, sans plus, il n'a pas laissé de souvenir impérissable.
Encore un jeu de plateforme, qui n'était pas mal. Cette fois, c'est Buster le héros.
Yet another platform game. Avec Aladin, mais en anglais, on met 2 "d".
Et l'inévitable Roi Lion de Disney à l'époque. Encore un jeu de plateforme.
Forcément, un jeu de Formule 1 pour le père, quand même, qu'il en profite un peu.